Il y a quelques semaines, Renaud Laplanche, PDG du Lending Club, leader mondial du crowdlending, a dû tirer sa révérence. La raison ? La vente de prêts risqués pour 22 millions de dollars à un investisseur unique, contrevenant ainsi à ses propres règles. Le cours boursier de l’entreprise s’effondre alors littéralement : entre défiance et crise, rien ne va plus. Quelles leçons tirer de cet événement ? Vincent Ricordeau, cofondateur de LENDOPOLIS, réagit sur Le Monde.fr
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